vendredi 29 novembre 2019

LAETICIA HALLYDAY DÉPENSIÈRE ET OISIVE, SON EX-AGENTE L’ACCABLE

LAETICIA HALLYDAY DÉPENSIÈRE ET OISIVE, SON EX-AGENTE L’ACCABLE

Après la publication de son livre, Laurence Favalelli, l'ex-agente artistique de Laeticia Hallyday a accordé une interview au Figaro et a accusé la femme de Johnny d'être trop "dépensière" et "oisive".

Laetitia Hallyday est toujours au cœur de l'actualité et son comportement fait de nouveau polémique. Après la parution de son livre choc, "Laeticia H. Au cœur du clan Hallyday", Laurence Favalelli, qui a donné sa démission en décembre 2018, a accordé une interview au Figaro. Ce jeudi 28 novembre, l'ex-agente de Laeticia Hallyday a fait de nouvelles révélations accablantes concernant son ancienne patronne. Elle a notamment révélé que la mère de Jade et Joy possédait un train de vie excessif où le luxe coulait à flots. D'après elle, même depuis la mort du taulier, Laeticia Hallyday ne cesse de dépenser son argent sans compter. Elle a confié : "Durant toute la période de deuil, elle a continué à faire beaucoup de shopping. Son rapport à l’argent est différent de celui du commun des mortels. Elle vit dans un luxe incroyable. On passait des heures dans les boutiques et je devais sortir en portant les paquets, loin derrière elle pour éviter les paparazzis. Toujours pour éviter les photos, elle se faisait beaucoup livrer chez elle. Là aussi, elle avait un story telling tout prêt. Elle répétait que son homme voulait qu’elle soit toujours belle et bien habillée. Pourquoi ne pas juste dire 'j’aime le shopping, j’aime la mode' ? À ce que je sache, on a le droit de faire des courses même en période de deuil".

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"ELLE A BESOIN DE SE JUSTIFIER"
Ses révélations accablantes concernant son côté "dépensier" ne sont pas les seules à faire parler d'elles... Laurence Favalelli a également tenu à pointer du doigt le comportement de Laeticia Hallyday. Selon elle, la mère de Jade et Joy est "oisive", tout en se pensant très active. Elle a ajouté : "Dans sa stratégie de com ou à ses amies, elle répète être débordée, avoir un planning effrayant. Elle a besoin de se justifier. Elle pense absolument qu’elle travaille quand elle passe des heures à trafiquer ses photos sur Instagram. Le problème, c’est qu’elle insiste pour commenter le travail des autres et qu’elle exige de tout valider. Mais parfois, elle prend quinze jours pour répondre à un courriel. Il nous est arrivé de sauter dans un avion pour Los Angeles uniquement pour arriver à lui faire valider un document. Elle ne délègue jamais. C’est sans doute pour cela qu’elle ne veut pas partager le droit moral avec David Hallyday". Laeticia Hallyday va-t-elle se défendre et se justifier face aux dires de Laurence Favalelli ?
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Laeticia Hallyday et les extraits accablants du livre de son ex-agent

Laeticia Hallyday et les extraits accablants du livre de son ex-agent

Laurence Favalelli, l’ex-agent artistique de Laeticia Hallyday, raconte dans Laeticia H. : Au cœur du clan Hallyday, paru le jeudi 28 novembre, les scènes auxquelles elle a assisté durant ses six années auprès du couple mythique.
«C’est le making-of du meilleur roman-photo de ces dernières années», annonçait-elle dans les colonnes de Ouest-France, le mercredi 27 novembre. Elle, c’est Laurence Favalelli, ex-agent artistique de Laeticia Hallyday et auteure d’un livre sur l’épouse de Johnny Hallyday. Dans Laeticia H. : Au cœur du clan Hallyday, paru le jeudi 28 novembre aux éditions Michel Lafon, l’ancienne femme de l'ombre raconte ses six années passées au côté du couple mythique, entre 2012 et 2018.
Si elle affirme qu’il ne «s’agit pas d’un règlement de comptes», mais d’une «thérapie», Laurence Favalelli évoque pêle-mêle les dissensions autour de l’héritage du chanteur, les mises en scène exigées par Laeticia Hallyday, ou encore ses relations avec Mimi Marchand, la papesse de la presse people. Des extraits de l’ouvrage ont ainsi été dévoilés par le magazine ELLE, le mercredi 27 novembre. Certains d’entre eux se révèlent particulièrement accablants pour l’épouse de Johnny Hallyday.

"Elle scénarise toute sa vie"
«C’est un monstre de contrôle que nous, ses communicants, avons contribué à créer», explique-t-elle dans une interview au Figaro. L’ex-agent décrit ainsi les mises en scène répétées de son ancienne employeuse. «Elle est dans l’autocensure, dit seulement ce qu’il est bon de dire, confie-t-elle à Ouest France, à propos de Laeticia Hallyday. Et scénarise toute sa vie.» Laurence Favalelli décrit notamment une scène d’anthologie, qui se serait déroulée après leur arrivée à Hô-Chi-Minh-Ville. Yaël Abrot, une photographe qui accompagne Laeticia Hallyday à l’orphelinat de Go Vap, se voit alors «fusillée du regard» pour ne pas avoir immortalisé l’épouse du rockeur durant un échange avec un petit garçon handicapé.

Tout comme Mathieu César, un reporter présent sur place, à qui elle reproche de «ne pas faire de photos». «Il déteste les poses, elle ne veut être prise qu’en posant», analyse Laurence Favalelli. Chaque matin et chaque soir, la mère de Jade et Joy entretient le même rituel : elle passe en revue les clichés du jour, «les commente, se les repasse encore, s’admire, se déteste».

L’écrivain raconte ainsi un autre épisode, en 2016, durant lequel Laeticia Hallyday pose nue pour le magazine Lui au bord de sa piscine, à Los Angeles. «L’équipe du photographe David Bellemere lui a donné une culotte chair comme ils le font régulièrement sur ce genre de shooting avant de la gommer à la retouche, elle n’a aucun problème avec le fait de l’enlever, ils ne le lui demandent pas», poursuit-elle. Entre en scène Johnny Hallyday, dont Laurence Favalelli craint la réaction. «Ils vont me ranger les transats, j’espère ?», sera la seule déclaration du rockeur face à cette scène.

Ses liens étroits avec Mimi Marchand
Celle que Laeticia Hallyday surnommait «Lolotte» raconte les liens étroits qui unissent sa patronne à Mimi Marchand. Dans un passage du livre, elle revient sur l’intrusion de cette dernière, en décembre 2017, lors d’un voyage de Laeticia Hallyday au Vietnam. La directrice de l'agence Bestimage envoie alors à Laurence Favalelli les clichés de leur départ à Roissy, immortalisés par des paparazzi. «Ça y est, vous êtes partis !», écrit-elle par SMS. «C’est là que je comprends que leur présence n’était évidemment pas due au hasard, en conclut l’auteure. Je connaissais les liens de Laeticia avec Mimi Marchand, mais j’étais loin de m’imaginer ce degré-là.»
Une "mise à mort"
Un autre jour d'octobre 2018, un photographe montre en réunion des photos de l'ex-mannequin, non-retouchées et qu'elle n'a jamais vues. En colère, Laeticia Hallyday blâme Laurence Favalelli. «Elle a littéralement dégoupillé, se souvient cette dernière. Une amie de Laeticia et témoin de la scène me dira son effarement devant son visage, un masque de haine, une "mise à mort". Pour des photos non retouchées. Je l’avais déjà vu faire pour d’autres. Cette fois, c’était mon tour.»

Elle ne peut pas faire du shopping alors qu’elle est en deuil
Laurence Favalelli
Laurence Favalelli se remémore également un après-midi durant lequel les deux femmes sortent acheter un cadeau d’anniversaire à Omar Sy, à Malibu, en janvier 2018. «Nous sortons de la boutique Zadig et Voltaire avec un paquet et elle me dit : "Tiens, prends le sac, je ne veux pas qu’on me prenne en photo avec, se souvient-elle. Elle ne peut pas faire du shopping alors qu’elle est en deuil.»

"Ils n'auront rien !"
Laurence Favalelli se penche, enfin, sur les dissensions entre Laeticia Hallyday et les enfants du chanteur, Laura et David. Elle décrit le climat de tensions qui règne dans la maison, au point que Johnny Hallyday «fait semblant de s’endormir» durant leurs visites. Plus tard, lors d’un repas entre amis, Laeticia Hallyday aurait glissé, à l'évocation de Laura Smet et David Hallyday : «Ils ont raison d’être inquiets, ils n’auront rien !» Ne supportant plus le «climat délétère» entre l’épouse de Johnny Hallyday et le reste de sa famille, Laurence Favalelli finit par tirer sa révérence. «Je n’aurais jamais imaginé la suite», conclut-elle pourtant.

















On a rencontré Renaud pour son nouvel album, “Je dis aux jeunes : bougez-vous le cul !”

On a rencontré Renaud pour son nouvel album, “Je dis aux jeunes : bougez-vous le cul !”
Alors que Renaud sort son nouvel album, “Les Mômes et les enfants d’abord”, il nous a reçus pour parler de son enfance, de l’alcool (qu’il ne consomme plus) et de sa vision du monde...

Il revient. De loin. De douleurs à répétitions (la mort de son frère puis de sa mère, il y a moins d’un an). De chutes, au sens premier du terme (il s’est retrouvé les deux poignets dans le plâtre) et de rechutes, dans une addiction qu’on ne présente plus. Mais une fois encore, ceux qui prophétisaient le pire se sont trompés. Renaud s’est relevé. Au point d’écrire et d’enregistrer un nouvel album, Les Mômes et les enfants d’abord, tout entier consacré au thème de l’enfance. « Il donnera très peu d’interview », nous avait prévenus la maison de disques. Coup de chance, il a quand même bien voulu nous voir, dans son nouveau repaire parisien, à deux pas de son pied-à-terre, et pas très loin de la Closerie des Lilas dont pendant des années, il avait fait son QG.

J’arrive à l’heure dite, midi pile, et il est là, attablé en terrasse, devant une Ginger Beer – sa nouvelle boisson préférée, sans alcool, qu’il alterne désormais avec le bitter San Pellegrino. Je suis contente de le revoir. La fois d’avant, c’était il y a presque quatre ans, juste avant un retour sur scène inespéré. Sous le soleil de L’Isle-sur-Sorgue où il passe huit mois de l’année. Je l’avais d’abord trouvé ronchon, rechignant à répondre aux questions ; nous avions finalement passé quatre heures, au moins, à discuter sans tabou. Aujourd’hui, Renaud n’est même plus ronchonchon : il se plie sans réserve au jeu de l’interview. Comment ça va, la forme ? « Impeccable, lâche-t-il d’une voix rauque, j’ai fait un check up, tout roule ». Bon, je ne l’imagine pas courir un 100 mètres sous mes yeux demain matin, mais je note que le cerveau continue de carburer à fort régime. Renaud écoute, répond, s’indigne. Il égrène les souvenirs de son enfance, souligne l’amour profond qu’il portait à ses parents, et parle de la jeunesse d’aujourd’hui. Car c’est à elle, beaucoup, que s’adresse son dernier disque.

“L’alcool m’empêchait d’écrire, m’empêchait de vivre”.
« Je dis aux jeunes : bougez vous le cul, bordel ! Dénoncez la mondialisation, le dérèglement climatique. L’écologie est mal barrée, et nous avec. Tiens, j’ai regardé hier la série Chernobyl. Terrifiant. Heureusement qu’une partie de la jeunesse s’engage. Mon fils n’a pas encore fait de manif, il est trop jeune (13 ans) mais ça va venir. Par contre, Lolita, ma fille, était à la marche des femmes samedi dernier, je trouve ça formidable. Ma génération aussi a mené des combats, et en a gagné quelques-uns. Celui de la pêche à la baleine, par exemple, même si le Japon a recommencé ». Renaud se tait, lâche un mégot fumant dans le cendrier, puis reprend d’une voix douce. « Dans l’une de mes nouvelles chansons, On va pas s’laisser pourrir, je fais carrément la morale aux jeunes. Ou plutôt, je leur donne des conseils de grand frère : faites gaffe à ne pas tomber dans les pièges que sont le tabac, l’alcool et la drogue. Pour deux d’entre eux, tabac et alcool, j’ai donné. Beaucoup. L’alcool surtout, qui m’empêchait d’écrire, qui m’empêchait de vivre. J’ai commencé trop jeune, à 20 ans — aujourd’hui, c’est souvent encore plus tôt. »

Et maintenant ? « J’ai fait une nouvelle cure de désintox dans une clinique, avec un médecin addictologue génial. J’en suis sorti en janvier et depuis, je n’ai plus touché une goutte. Par contre, tous les jours je veux arrêter de fumer, et tous les jours je fume trois paquets ». Il en ouvre un, alors qu’un autre, entamé mais pas encore vide, est posé sur la table.

Donc, Renaud a bu – on savait –, et ne boit plus – tant mieux. Et même si la carcasse en a pris un coup, l’alcool n’a visiblement entamé ni ses envies d’écriture, ni sa faculté de s’y mettre. « Ça fait du bien d’écrire, ça requinque. J’ai écrit tous les textes de ce disque en huit jours — sauf, deux, que j’avais déjà dans mes tiroirs. Tous les matins, je me levais à 5h et je m’installais devant l’ordi. Le thème de l’enfance s’est imposé petit à petit, au fur et à mesure que j’écrivais. Bon… Je me suis laissé aller à des chansons un peu grivoises, un peu polissonnes, comme Pinpon. J’espère que ça fera marrer les mômes. Moi, j’aimais ça quand j’étais gamin. À la maison, on avait même un disque de chansons paillardes, interprétées par la Fanfare des Beaux Arts... »
Une femme vient d’entrer dans l’élégant café près de Montparnasse. Elle le regarde en passant, sourit mais ne s’arrête pas. Si je n’avais pas été là, je parie qu’elle aurait abordé le chanteur. « L’amour du public n’est pas mesurable pour moi, tellement il est énorme. Tous les jours, on me fait des compliments, on m’encourage : “lâche pas, écris-nous des jolies chansons ». Malheureusement, ça ne suffit pas pour ne pas être malheureux. Je suis mélancolique. C’est une vraie maladie, qui commence par la peur et la tristesse – j’ai connu. Qui mènent à la dépression – j’ai connu aussi. Qui elle-même peut conduire au suicide – je ne veux pas connaître. La mélancolie est un joli mot, mais une réalité terrible. » Silence. Je lui piquerais bien une cigarette.

Je ne sais plus qui, de lui ou de moi, a mis fin au passage de l’ange. Enfin si, je sais. Je lui ai reparlé du temps qui passe, et qui parfois se met à presser. « J’avais attendu dix ans entre mes deux derniers albums. Je ne peux plus me le permettre. Donc maintenant, je ne m’arrête plus. J’ai déjà commencé l’écriture d’un nouveau disque et je n’exclus pas non plus un autre volume sur l’enfance. Car oui, le temps file, à tel point que je n’en reviens pas. Dans ma tête, j’ai 15 ans. Dans ma vie, j’en ai 67. C’est dur de se voir vieillir. La jeunesse est longue mais la vie est courte ».
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Pourquoi Johnny Hallyday n'aimait pas qu'on l'appelle le Taulier

Pourquoi Johnny Hallyday n'aimait pas qu'on l'appelle le Taulier


Alors que le 6 décembre prochain marquera le deuxième anniversaire de sa mort, on apprend cette semaine par un de ses proches pourquoi Johnny Hallyday n'aimait pas qu'on l'appelle le Taulier.
"Les gens m'appellent l'idole des jeunes..." chantait-il en 1962 aux prémices de sa carrière, et c'est comme ça que nombre de ses fans l'avaient appelé jusqu'à son dernier souffle. Johnny Hallyday nous a quitté le 6 décembre 2017, des suites d'un cancer. Et au cours de sa folle vie, le rockeur a eu droit à quelques autres surnoms d'envergure. "Le Patron", "Le Boss", et bien sur "Le Taulier". Et ce dernier sobriquet, n'était d'ailleurs pas son préféré...

"Jojo était le contraire de ça"

C'est ce que confie l'un de ses proches, le photographe Jean-Marie Périer, dans les colonnes de La dépêche du midi, ce 28 novembre. Lui qui a bien connu le chanteur assure : "Je ne sais pas qui a eu l'idée de l'appeler le Taulier, mais forcément, il le connaissait mal, car Jojo était le contraire de ça. D'ailleurs il n'aimait pas beaucoup qu'on l'appelle Jojo non plus, mais comme je l'ai fait depuis 1962 je pense qu'il me pardonnera".

Pour Jean-Marie Périer, le rockeur était tout simplement "le contraire d’un taulier". Et pour le prouver, il soutient : "d’abord il pouvait changer d’avis trois fois par semaine selon les personnes rencontrées pour la simple raison qu’il voulait surtout qu’on lui foute la paix et qu’on le laisse s’adonner à seule vraie passion : la scène. Nous en mettre plein la tronche quand il jouait avec ses potes musiciens était son plus grand plaisir".

Autre exemple que donne Jean-Marie Périer, Johnny "ne donnait pas d’ordres". Il soutient d'ailleurs : "ceux qui disent : 'Personne ne pouvait dire à Johnny ce qu’il devait faire' prouvent qu’ils n’étaient pas des proches de longue date. Il laissait dire tout le monde et ensuite il suivait l’instinct".

"Il s’amusait à provoquer des fâcheries"

Une personnalité plus nuancée que celle qu'on a décrit depuis sa mort. Loin de ce caractère autoritaire qu'on lui prête, Johnny Hallyday était surtout un grand déconneur, pour Jean-Marie Périer. Il décrit ainsi : "Il s’amusait aussi pas mal à dire tout et son contraire pour provoquer des fâcheries, ça l’amusait bien".
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Laeticia Hallyday délaisse Jade et Joy pour Pascal : « Les filles en ont même pleuré ! »

Laeticia Hallyday délaisse Jade et Joy pour Pascal : « Les filles en ont même pleuré ! »
Depuis qu’elle a rencontré Pascal Balland, Laeticia Hallyday ne semble avoir d’yeux que pour lui. 

Ses filles, Jade et Joy, ont même l’impression d’être reléguées au second plan, comme le rapporte une source qui s’est confiée au magazine Voici, dans une interview parue ce vendredi 29 novembre.

Il paraît que l’amour rend aveugle. 

Depuis qu’elle a rencontré Pascal Balland, Laeticia Hallyday, qui entend bien vivre pleinement sa relation, ne vit que pour lui. 

Quitte à en oublier ses filles, Jade et Joy... Suite à son arrivée à Paris le 19 novembre dernier, la veuve de Johnny n’a pas tardé à envoyer les deux sœurs à Marnes-la-Coquette, avec leur grand-mère, Mamie Rock. 

Quelques jours plus tard, elle s’est octroyée un nouveau petit plaisir avec son homme puisqu’elle et Pascal Balland sont partis à l’étranger en amoureux. Il faut comprendre « sans les filles ». 

Depuis que leur maman a refait sa vie avec cet homme d’affaires – qui possède plusieurs restaurants à Paris – Jade et Joy se sentiraient de plus en plus à l’écart, comme l’a confié une source au magazine Voici, dans une interview parue ce vendredi 29 novembre. 

« Elles vivent très mal la situation. Depuis leur arrivée à Paris, leur mère est aux abonnés absents. Elles ont la sensation d’être reléguées au second plan, elles en ont même pleuré ».


Mamie Rock a bien tenté de les divertir avec une promenade au jardin des Tuileries. En vain… 

À 15 et 11 ans, les deux sœurs ont besoin de leur maman. Età leurs yeux, Pascal Balland prend un peu trop de place dans la vie de Laeticia Hallyday. 

« Quand il vient à Los Angeles, c’est un peu différent car elles sont chez elles. 

Là, à Marnes, elles n’ont pas grand-chose à faire », rapporte un proche dans le dernier numéro du magazine Voici, en kiosque dès ce vendredi 29 novembre. 

Depuis qu’elle est amoureuse, Laeticia semble en effet vivresur un petit nuage. Elle s’est éloignée de certaines de ses amies proches et ne semble vivre que pour elle. 

« Elle vit comme une ado, elle veut profiter à fond de sa love story et n’a pas trop la tête à s’occuper des filles », poursuit cette même source. 

Et ce n’est pas Maryline Issartier, la baby-sitter adorée de Jade et Joy, qui peut remplacer leur mère…
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